La Mamilihpan
À la limite des bassins versants du haut Maroni (Crique éponyme, affluent du Litany) et du Marouini (Crique Koutou), ce promontoire finement cannelé sur ses falaises les plus abruptes est sûrement l’un des inselbergs les plus majestueux du grand sud. Son riche passé humain en fait aussi un lieu hors du commun : c’est en effet à l’abri de cette longue anfractuosité sur son appui sud que furent décrites les uniques peintures rupestres amérindiennes de Guyane. 13 septembre 2008